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Dans tous les cas, ça va être une vache à lait. COVID sera probablement une vache à lait pour nous pendant un certain temps encore.
https://twitter.com/Project_Veritas/status/1618405890612420609
Les mots parlent d'eux-mêmes. Mais pour ceux d'entre nous qui regardent la vidéo, ce qui ressort le plus, c'est l'orgueil, La façon décontractée et l'enthousiaste dont Walker parle du travail secret de Pfizer sur la mutation du virus COVID.
Puisque la recherche, qui a été menée à Wuhan avec le financement de Fauci et des NIH, est considérée comme "mauvaise" maintenant, ils vont juste l'appeler - "évolution dirigée". Je peux imaginer les discussions internes... Ils dirigent simplement l'évolution du virus... Ils lui donnent un coup de pouce dans la bonne direction pour qu'il devienne plus puissant ou viral.
La diffusion de la vidéo a fait tellement de bruit que Pfizer a été obligé de faire une déclaration. Elle était remarquablement vague, concernant "des allégations ont été faites récemment concernant le gain de fonction et la recherche sur l'évolution dirigée".
Pfizer nie avoir mené l'une ou l'autre de ces recherches, en contradiction directe avec les commentaires enregistrés de Walker. Pourtant, dans le même communiqué de presse, Pfizer admet qu'elle le fait lorsqu'elle déclare : "Dans un nombre limité de cas où un virus complet ne contient pas de mutations connues de gain de fonction, ce virus peut être modifié pour permettre l'évaluation de l'activité antivirale dans les cellules."
Pour la plupart d'entre nous, apprendre une telle chose n'est probablement pas une surprise. Des dizaines de milliards de dollars de bénéfices ont déjà été réalisés, des fortunes ont été crées, et il n'est pas nécessaire d'extrapoler pour comprendre que nombreux sont ceux qui veulent continuer à profiter de la situation.
Entre les agences gouvernementales et les compagnies pharmaceutiques impliquées, nous nous sommes clairement fait avoir.
Un journaliste indépendant a publié sur Twitter une vidéo qui a maintenant été visionnée plus de 25 millions de fois. C'est le genre de vidéo qui aurait été immédiatement censurée si Elon Musk n'avait pas pris le contrôle de Twitter et rétabli la liberté d'expression et la liberté de la presse.
https://twitter.com/Project_Veritas/status/1618405890612420609
Il s'agit d'une vidéo de Jordan Trishton Walker, directeur de la recherche et du développement pour les opérations stratégiques et la planification scientifique de l'ARNm chez nul autre que Pfizer. La vidéo dit tout. Nous pouvons la regarder directement ici. Mais attention, ce que dit le cadre de Pfizer, et la façon dont il le dit, est profondément dérangeant.
L'emploi de Walker a été vérifié, et la vidéo est réelle. Un sénateur américain a déjà envoyé une lettre au PDG de Pfizer pour demander des réponses, et d'autres membres du Congrès demandent maintenant des auditions.
Pourquoi toute cette agitation ? Voici quelques propos tenus par M. Walker dans la vidéo :
Eh bien, l'une des choses que nous explorons est de savoir pourquoi nous ne le faisons pas simplement muter (le virus) nous-mêmes afin de pouvoir - nous pourrions créer de manière préventive de nouveaux vaccins, n'est-ce pas ? Donc, nous devons le faire. Mais si nous le faisons, il y a un risque pour la vie, comme vous pouvez l'imaginer, personne ne veut qu'une entreprise pharmaceutique fasse muter ces putains de virus.
Quand on parle de recherche sur le vaccin :
l'évolution dirigée est très différente. Vous n'êtes pas censé faire de la recherche sur le gain de fonction avec les virus. Ils préfèrent qu'on ne le fasse pas, mais on fait ces mutations de structure sélectionnées pour essayer de voir si on peut les rendre plus puissants. Des recherches sont donc en cours à ce sujet.
La façon dont cela fonctionne, c'est que nous les mettons dans - le virus dans ces singes. Puis on les fait s'infecter les uns les autres. Nous prélevons des échantillons en série et, pour ceux qui sont les plus infectieux pour le virus, nous les plaçons dans un autre singe et nous le faisons muter activement en permanence.
Vous pouvez maintenant forcer (le virus) à muter d'une certaine façon que vous désirez.
Eh bien, ils sont encore en train de mener des expériences sur le virus, mais il semble, d'après ce que j'ai entendu, qu'ils sont en train de l'optimiser. Mais ils vont lentement parce que tout le monde est très prudent, comme, vous savez, évidemment ils ne veulent pas trop accélérer, mais je pense qu'ils essaient d'explorer parce que vous ne voulez évidemment pas faire de la publicité que vous êtes en train de comprendre les mutations futures.
15 mois de lutte pour obtenir ces informations
Avant de vous parler de ces révélations, je vais brièvement vous parler du passif de cette affaire, car elle nous renseigne déjà sur son caractère explosif.
Tout commence en juin 2021 quand un cabinet d’avocats, Siri & Glimpstead, demande au CDC de rendre publiques les données collectées par une application, V-safe. Le CDC est l’acronyme de « Centers for disease control and prevention », soit « Centres pour le contrôle et la prévention des maladies ». C’est la principale agence fédérale des États-Unis en matière de santé publique.
Quant à « V-safe », il s’agit d’une application mobile développée par le CDC spécifiquement pour suivre les effets secondaires éventuels des injections anti-Covid.
La demande d’accès aux données de cette application a donc été déposée en juin 2021. Pourtant, ce n’est qu’il y a quelques jours, en octobre 2022, qu’une première partie de ces données ont été révélées. Autrement dit : 15 mois d’attente.
Mais ce ne furent pas 15 mois d’attente tranquille, non. Durant ces quinze mois, les avocats ont dû batailler devant les tribunaux pour que le CDC rende publiques ces données déjà « dépersonnalisées » (ce qui signifie qu’on ne peut pas identifier l’utilisateur ayant renseigné ses données).
C’est finalement une ordonnance du tribunal qui a obligé l’agence à partager ces informations sensibles. Et l’on comprend pourquoi : elles sont effarantes. Des effets secondaires sérieux chez 1 personne sur 4
Restez bien assis, car les chiffres donnent le tournis (1).
Le « premier volet » des données de V-safe livrées par le CDC concernent 10 millions de personnes. Sur ces 10 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de produit anti-covid, 25% ont été obligées de se mettre en arrêt maladie parce que l’injection les empêchait de poursuivre une activité normale. 25%, c’est 1 personne sur 4 soit en l’espèce, 2,5 millions de personnes. C’est gigantesque.
Ce n’est pas tout : sur ces 2,5 millions de personnes, 782.913 ont été hospitalisées juste après l’injection, ont dû subir une intervention en salle d’urgence, ou nécessité un médecin.
Rapporté aux 10 millions de l’échantillon, cela représente 7,7% de cas d’effets secondaires graves. Aucun produit pharmaceutique « autorisé » n’a, dans l’histoire de la médecine, provoqué une telle proportion d’effets secondaires parmi les patients.
Mais ce n’est pas tout. En tout, 71 millions de symptômes ont été déclarés par les utilisateurs de V-safe. Ça fait une moyenne de 7 symptômes par personne injectée.
Au « hit-parade » de ces symptômes, on trouve les douleurs articulaires : 4 millions de signalements, dont 400.000 handicapantes.
Les enfants ne sont pas en reste : 13.000 enfants de moins de deux ans ont été enregistrés sur V-safe… et 33.000 symptômes ont été renseignés, les plus courants étant l’irritabilité, l’insomnie, la douleur et la perte d’appétit.
L’ensemble des données disponibles sont consultables sur le site en source (2), dont voici un aperçu: Je ne sais pas ce qui est le plus consternant dans ces révélations.
Que ces chiffres soient officiels ? Ou que les autorités de santé américaines, contraintes et forcées, aient mis 15 mois à les rendre publics ?
Je rappelle, à toutes fins utiles, qu’en France la transparence sur ces effets secondaires n’a toujours pas été permise, et ce bien qu’en mai dernier trois enseignants-chercheurs aient, lors d’une audition au Sénat, alerté sur une hausse de 1788% des troubles du cycle menstruel, et un bond de 732% des AVC en 2021 (3).
Rendez-vous ici pour voir les sources : https://alternatif-bien-etre.com/coronavirus/injections-anti-covid-les-revelations-derangeantes-de-la-cdc
Il avait des régurgitations qui avaient été traitées par la substitution du lait par un lait antirégurgitations (quelle drôle de façon de voir les choses !). Il avait des coliques qui l’empêchaient de s’endormir le soir. Il était particulièrement constipé.
Il s’agissait à l’évidence d’une intolérance aux protéines de lait de vache.
Dans ces cas-là, la seule chose à faire est donc de remplacer le lait par un lait anallergénique, c’est-à-dire préalablement « digéré » (coupé en petits peptides pour rendre les protéines de lait non immunogènes).
Un mois plus tard, je revois l’enfant qui est totalement guéri de son eczéma. Il n’a plus de coliques et fait désormais ses nuits.
Satisfait du diagnostic et du traitement, je rappelle à la famille que le lait était bien la cause de cet eczéma. Cependant, je ne vois pas dans le regard des parents la lueur de satisfaction habituelle.
Cette réaction m’a estomaqué, Je m’en inquiète et les questionne.
Et voici ce qu’ils me répondent : « Notre Docteur nous a dit que le bébé n’avait pas d’intolérance aux protéines de lait de vache. Regardez la prise de sang, elle est normale. ». Et ils me tendent le fameux document.
Le médecin traitant avait demandé les anticorps IgE contre les protéines de lait de vache et ces anticorps étaient négatifs.
Il considérait que la cause n’était pas celle que nous avions retenue, à savoir l’intolérance aux produits laitiers, alors que leur éviction a été le seul geste thérapeutique efficace et que l’enfant a été totalement guéri grâce à cela en moins de deux semaines !
Cela montre que certains médecins font, hélas, plus confiance à la biologie qu’à la clinique. Mais surtout, quel manque de connaissance que de penser que le seul mécanisme qui puisse intervenir dans des réactions d’intolérance ou d’allergies passe uniquement par le biais des immunoglobulines E !
C’est comme si on allait pêcher dans la rivière avec une cuillère à soupe (qui ici représente le dosage des immunoglobulines E) et que, ne ramenant pas de poisson, on en conclurait qu’il n’y a pas de poisson dans la rivière.
En tant que médecin, nous devons rester modeste : nous n’avons pas de tests biologiques pour rendre compte de tous les mécanismes des intolérances alimentaires.
Ainsi, au lieu de se satisfaire de la remarquable efficacité de la prise en charge, le médecin met en doute les préconisations du spécialiste !
Est-ce que cette remise en cause serait allée jusqu’à la suppression du lait anallergénique ? Si cela avait été le cas, le médecin aurait été témoin d’une rechute inéluctable. Je me demande comment il aurait expliqué cela à la famille.
On pourrait penser que l’avis d’un spécialiste convainque sans discussion le médecin généraliste sur tout ce qui concerne sa discipline. Mais comme on vient de le voir, ce n’est pas toujours le cas.
Cette histoire n'est qu'un exemple parmi d’autres.
Quand vous êtes spécialiste en médecine interne, la spécialité-reine de la médecine et l’une des plus longues à acquérir, vous pensez que le médecin va respecter vos connaissances bien plus approfondies que les siennes sur le sujet.
Mais en dépit de la prise en charge complète du malade (avec interrogatoire détaillé, examen clinique total et lecture des différentes analyses effectuées), vos conclusions sont parfois remises en question par un médecin qui n’a vu son malade que quelques minutes en consultation, sans n’avoir jamais mené l’examen et les analyses que vous avez faites.
Comme on vient de le voir, plusieurs écueils peuvent nuire à la bonne prise en charge du patient :
- La confiance aveugle dans les analyses biologiques, en dépit des observations cliniques : celles-ci doivent venir confirmer les examens cliniques, mais jamais s’y substituer,
- La méconnaissance de l’actualité scientifique : la médecine évolue très vite et on ne peut pas se contenter de connaissances apprises à la faculté il y a 20 ou 30 ans,
- Le manque de coopération avec les spécialistes: le médecin doit avoir l’humilité de ne pas tout savoir et accepter l’avis d’un professionnel plus compétent que lui dans certains domaines.
Heureusement, il s’agit de cas exceptionnels. La grande majorité des médecins sont coopératifs et font confiance au spécialiste.
Pour retrouver le message complet et consulter les sources, rendez-vous ici:
https://www.pure-sante.info/avis_specialiste/
Mais plus qu’une nouvelle vague “difficile à anticiper” (comme les 7 dernières autres… et comme les suivantes également), c’est surtout à une nouvelle campagne de vaccination que l’on prépare la population.
Pour expliquer cette augmentation des cas positifs, sont pointés du doigt le déclin immunitaire de la population “qui a parfois été contaminée ou a reçu son dernier vaccin il y a de nombreux mois (3)”, ainsi que la rentrée, qui a favorisé les brassages sociaux.
Santé publique France relève d’ailleurs que dans ce contexte, les moins de vingt ans sont les principaux porteurs du virus, “à commencer par les 0-9 ans (+ 111 % la semaine du 5 au 11 septembre) (4)”.
Faut-il s’attendre à ce que la campagne de vaccination automnale mette également l’accent sur les plus jeunes, en plus des personnes fragiles ou âgées de plus de 60 ans ?
Cela ne m’étonnerait pas et ce serait même la porte d’entrée idéale pour le nouveau vaccin d’AstraZeneca, le labo anglais revenu dans la course après son échec de l’année passée.
Baptisé Evusheld, ce nouveau produit est destiné aux personnes âgées d’au moins 12 ans et pesant plus de 40kg, “n'ayant pas besoin d'apport d'oxygène mais présentant des risques d'évoluer vers une forme sévère de la maladie (5)”. Autrement dit, potentiellement tout le monde… Il vient d’être approuvé par l’Union européenne, au même titre que le vaccin bivalent de Pfizer-BioNTech (6).
La version de Moderna est en cours d’évaluation, alors qu’en coulisse, se préparent sur le banc de touche les laboratoires Sanofi et GSK, bien décidés à ne pas se faire voler leur part du gâteau (7).
Et ailleurs dans le monde ? Et bien en Chine, la folie zéro-Covid se poursuit et tue 27 personnes (8).
Pour rappel, il s’agit de cette politique qui consiste à vouloir éliminer définitivement le virus du pays en testant et en confinant à tour de bras la population. Dans cette optique, les scientifiques chinois ont également annoncé avoir créé des masques capables de détecter le coronavirus ainsi que le virus de la grippe dans l’air, notamment lors de conversation avec quelqu’un d’autre (9).
L’idée étant de pouvoir déterminer en 10 minutes seulement si le porteur du masque est en présence du virus, “afin de prendre les mesures dont ils ont besoin pour se protéger (10)."
J’ai surtout l’impression qu’il s’agit d’un outil de plus pour mieux dénoncer son voisin et faire perdurer cette étouffante atmosphère d’Inquisition espagnole.
Il n’empêche, la disparité de plus en plus grande entre ces mesures gouvernementales, qui sautent d’une extrême à l’autre, est étonnante et révèle d’autant plus les mentalités de chacun de ces pays.
Entre les Etats-Unis et la Chine, la France marque une sorte de milieu hésitant, à la frontière entre le “show must go on” de Biden et la sévérité implacable de Xi Jinping:
On entretient la peur, comme nous avons pu le voir avec les gros titres des journaux, on continue de croire à la religion du vaccin salvateur, mais avec une nuance puisque la vaccination s’adresse désormais uniquement aux personnes à risque et leur entourage, le reste de la population tendant désormais à vivre “normalement”.
En attendant, je crois qu’il vaut mieux suivre ce que nous dicte notre conscience et agir en conséquence. Enfin… Si l’Etat nous le permet…
Sources :
[1] https://www.20minutes.fr/monde/4001569-20220919-covid-19-joe-biden-juge-pandemie-terminee-etats-unis
[2] https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/09/20/covid-19-en-france-une-reprise-epidemique-annonce-la-huitieme-vague_6142339_3244.html
[3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/09/16/covid-19-les-contaminations-augmentent-de-nouveau-en-france_6141871_3244.html
[4] https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/09/16/covid-19-les-contaminations-augmentent-de-nouveau-en-france_6141871_3244.html
[5] https://www.boursorama.com/bourse/actualites/astrazeneca-le-traitement-anti-covid-approuve-dans-l-ue-7e5c943b5ba244b8ef5c9487f79249f5
[6] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/covid-19-nouveaux-vaccins-bivalents-covid-19-debarquent-france-ca-marche-100857/
[7] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/covid-19-nouveaux-vaccins-bivalents-covid-19-debarquent-france-ca-marche-100857/
[8] https://www.vanityfair.fr/actualites/article/chine-un-accident-de-car-cause-la-mort-de-27-personnes-placees-en-quarantaine-anti-covid
[9] https://www.rnz.co.nz/news/world/475143/chinese-scientists-develop-face-mask-that-can-detect-covid-19
[10] https://www.rnz.co.nz/news/world/475143/chinese-scientists-develop-face-mask-that-can-detect-covid-19